
dachyb a écrit:Associé avec un outil qualitatif, certainement, je suis plus réservé sur l'usage avec des répliques basiques, surtout les revolvers, dont l'entrefer n'est pas forcément régulier, à cause de barillets qui ne reproduisent pas forcément les mêmes conditions mécaniques sur chaque chambre...
J'ai eu l'impression qu'elle est moins salissante, mais je n'ai pas noté de progression ou d'amélioration significative quand je l'ai essayé dans un 58 pietta des 80'
...et tu me donnes envie d'essayer avec un uberti des année 80, histoire de voir si on peut noter une différence, et ce qui permettrait aussi de mettre ou pas évidence, un soin supérieur apporté aux barillets uberti de cette époque.
early bird a écrit:une des grandes qualite de la suisse est ou plutot etait sa grande stabilité a la chaleur (elle tenait jusqu'a 38°c) et elle acceptait aussi une hygrometrie elevée (mais pas jusqu'a la goutte d eau dans le barillet ,quand meme), c'est surtout la qu elle faisait la difference avec nos poudres nationales. Aujourd'hui , l ami Fiaux a pris sa retraite , et la poudrerie d 'Eaubonne doit degager des benefices , j ai encore des echantillons de S1 et S2 sans graphitage et de l'ancetre de la 0b qu'ilavait donné aux tireurs pour essais et voir si cela apportait un + a nos resultats.
Ce n'est nullement une heresie de passer de la S1 a la PNF2 , la poudre n est qu 'une des composantes de la charge
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