Les lunettes , les barbes pour le XVIII e siècle et finalement l' embonpoint.
A chaque groupe de gérer selon ses objectifs . J' ai fait partie d'un groupe " familial " ou on acceptait les textiles modernes
les lunettes modernes , les godasses anachroniques. etc , le but étant de faire un loisir familial et d' exposer les enfants à l'histoire .
Les activités étaient. centrées sur la cuisine , les chansons , les jeux et l' exercice des armes était assez secondaire , bien que fait
très sérieusement . On donnait la formation nécessaire pour rejoindre les milices des. autres groupes . J' ai gardé de bons amis dans
ces groupes et je suis toujours content de les revoir lors d' activités.
Pour l'instant je participe a deux groupes " progressifs " ( purs et durs ) et nous faisons plus de recherche et de démonstrations
que de campements . Nous sommes deux a porter des lunettes , avec montures correctes bien sur , et on s' arrange pour ne pas les porter
en même temps . En fait , je n' en porte pratiquement plus ... je vois comme j' aurais vu a cette époque . J'utilise mes lunettes modernes
quelques minutes lorsque nécessaire , et je les remets dans ma poche . ( depuis que j' ai un costume avec des poches. )
Finalement , le sujet des lunettes va assez bien dans le contexte de cette discussion sur les exigences et contingences de la reconstitution historique .
Donc , ce que arnoy appelle une chorégraphie , c' est l'ordonnance dictée par l' artillerie , ça change avec les époques , mais c' est
généralement bien documenté , comme l' exercice du fusil ou du mousquet . Certaines détails se sont ajouté aujourd'hui , pour des raisons
de sécurité en public , mais dans l' ensemble c' est bien représentatif de l'histoire .
On note que dans le cas des marcheurs de la Meuse et des bravades de Provence , ils sont eux -même une partie de la tradition continue
et pas une reconstitution de l'histoire . Ils ont donc leurs propres règles . ( que je trouve parfois imprudentes ... )