Pour ma part, j'ai utilisé une boite de 1075 + que j'avais commandé par inadvertance, en cliquant trop vite sur le lien du catalogue de mon fournisseur habituel, Westernguns.
Renseignement pris, ces 1075+ sont prévues pour des gros engins type Walker ou Dragoon, ou encore des pistolets à percussion, la flamme devant faire un petit trajet entre la cheminée et le fond du canon où se trouve la poudre, c'était auparavant des pistolets à silex où la platine avait été changée quand l'amorce au fulminate de mercure était apparue au début des années 1830
J'ai utilisé les 250 amorces sans problème particulier sur mon Remington Army, avec néanmoins l'impression qu'il y avait plus de débris qu'avec les 1075 normales. Je pense que sur un Colt, cela pourrait être gênant et j'ai soigneusement évité de les utiliser sur mon 1851 en 36, faut pas tenter le diable et je n'avais pas envie de démonter la clavette sur le pas de tir pour régler un problème de débris coinçant le mécanisme avec un barillet en partie chargé et amorcé.
Maintenant, je fais attention quand je commande mes amorces.
Pour le reste, je pense qu'en pinçant les amorces, cela évite qu'elle se fassent la malle quand le barillet tourne.
Concernant les départs en chaine, j'ai posé la question de confiance aux vieux chibani du club dont l'un, considéré comme le "chef coutumier" des poudreux, tire avec des armes bizarres telles que le Paterson ou encore le chamelot ou le saint Etienne; aucun n'a eu de genre d'incidents ni n'a eu connaissance que cela se soit produit depuis que le club existe (créé dans les années 60/70 au départ par des chasseurs auxquels sont venus ensuite se greffer les tireurs sportifs.
Certains ici aiment tirer avec les balles en 451 - j'ai toujours utilisé des 454 - Pour voir ce que ça donne, j'ai commandé et reçu un sachet de 100 Balleurop en 451.
Peut-être serai-je le premier du club à avoir un départ en chaîne ?
Je ne manquerai pas dans ce cas de vous faire part de mes impressions
« Dieu a fait des hommes grands et d'autres petits, je les ai rendus égaux. » Samuel Colt