bistenfoil a écrit:Je ne suis pas chasseur mais j'imagine que, le premier coup tiré, il faut attendre que la fumée se dissipe avant d'envisager de doubler (du coup, ce n'est plus vraiment doubler...)
Lou gascoun a écrit:Désolé, excuse moi d'avoir voulu te donner mon idée pour ton achat![]()
Pour la charge : 4,5 g (charge normale du 16) à 5 g de PNF2 et 32 g de pb.
Nettoyage : Pour moi, le nettoyant vapeur à main (aux alentours de 30/35 roros). L'essayer c'est l'adopter.
cromagnon 07 a écrit:bistenfoil a écrit:Je ne suis pas chasseur mais j'imagine que, le premier coup tiré, il faut attendre que la fumée se dissipe avant d'envisager de doubler (du coup, ce n'est plus vraiment doubler...)
hello
remarque très pertinente
a cause de la fumée ,le temps de doubler si tu as manqué au premier coup le gibier a fait du chemin donc mieux vaut savoir tirer et se servir d'un fusil a un coup plus léger .
les chasseurs de l'époque de la poudre noire chassaient beaucoup au fusil a un coup et tiraient la plupart du temps sur gibier arrêté .
en ce qui me concerne j'ai souvent chassé a la poudre noire mais avec un fusil a broche c'est sympas aussi . il faut reconstituer les cartouches d'époque mais ça fonctionne bien .
sinon pour réponde et donner une idée a notre nouveau membre ,pour une charge de 32 g de plomb en calibre 12 tu met 5,5 g de PNC . ou 5 g de pnf 2 .
pour te donner une autre idée j'ai couché des sangliers en battue avec le fusil a broche en calibre 16 c'est efficace jusqu'à une trentaine de mètres .
le fusil de chez Pedersoli coute en effet une certaine somme mais il est sympas sinon il te reste a en trouver un en brocante et le restaurer mais si c'est fait dans les règles de l'art par un professionnel ça coute cher aussi .
CHRISWOOD a écrit:la fumé est parfois gênante, mais ça va, quand je tirais en juxta, (car en fait je chasse aux bois et boccage normand donc aussi bien un sanglier qui décolle qu'un faisan ou un lapin, donc coup gauche a balle et droite au plombs et je ne tir tjr qu'une fois...,), je regardais avec ma baguette si le coup suivant avait bougé, ca n'as jamais été le cas, mais je sais recharger et avec les ingrédients adapté, une bourre qui ne sert pas assez, un obturateur en carton mâché et ce ne serais pas le même, de nombreux fusils on survécu c'est certain, mais quand on sait le nombre qui ont pourri, ou détruit par la justice etc, je ne vois pas comment on peu dire que vu le nombre qui reste ca veux dire qu'il n'y as jamais eu d'accident, on as aucune idée du nombre de fusil produit et encore moins de combien il en reste! de plus les anciens avait tous des fusils, tout le monde chassait! le grand père, le père montrait dès tout jeune comment bien charger un fusil (il y avait même des cours de tir a l'école a une époque) donc les gens les utilisaient correctement. là, on as affaire a un jeune qui demande même comment le nettoyer donc on peu supposer aisément qu'il n'as personne dans son entourage pour lui montrer et le prévenir de se danger!
après, pour ce que j'en dit! ...
Lou gascoun a écrit:Quant à croire qu'à la 2ème moitié du XVIIIeme chacun avait son fusil... Dans les familles aisées peut etre, dans une famille paysanne...
Lou gascoun a écrit:Dans un premier temps, s'assurer que l'arme est bien déchargée. Lorsque l'on lâche la baguette dans le canon, on entend bien au son qu'elle "sonne" clair au fond de la culasse. Une sage précaution est de faire deux marques sur la baguette, une lorsque le fusil est vide, la deuxième lorsque il y a une charge. Ainsi en introduisant la baguette, on voit immédiatement si l'arme est dechargée, chargée... ou si la charge a "pris de l'air". Ceci est en effet dangereux et peut provoquer l'éclatement du canon. Il ne faut jamais un vide entre la poudre et la balle ou le plomb. Oui sage précaution, ne tirer que coup par coup et si on a tiré une fois, vérifier avec la baguette comme dit plus haut que la seconde n'a pas bougé. Je pense que mes écrits ont mal été interprètës (ou ai je mal rédigé ?). Mais je maintiens, tous les fusils à percussion n'ont pas éclaté au nez de leur propriétaire car les armes parvenues jusqu'à nous ne sont quand même pas si rares. Je maintiens aussi que nos anciens avaient moins le principe de précaution que de nos jour.
Quant à croire qu'à la 2ème moitié du XVIIIeme chacun avait son fusil... Dans les familles aisées peut être re, dans une famille paysanne... Mais bon... Assez de digression.
Donc je me suis assuré que mon fusil est bien vide.
Désensemblage des canons et du fût après avoir fait coulisser la clavette d'assemblage. Les canons sont généralement montés avec un crochet.
Démontage des cheminées.
Nettoyage soigneux des canon :
- de l'eau très chaude dans un récipient avec du liquide vaisselle. Baguette avec un chiffon enroulé sur le porte chiffon et on pompe et on pompe. L'eau est devenue toute noire, on la jette (mais attention aux chminées qui trempent dedans) .. Eau propre et on pompe et on pompe jusqu'à ce qu'elle ressorte limpide. Il ne reste plus qu'à sécher le tout.S'assurer que tout est bien net, que le chiffon ressort bien propre, que le logement des cheminées est nickel (cotontige), tout est maintenant bien propre ? Huile dans l'âme (WD40), huile dehors, un peu sur le filetage des cheminées qui sont remontées en vissant fermement... Mais pas trop non plus ! Lustrage du bois et on peut réassembler. Allez encore un petit coup de chiffon légèrement huilé où les doigts ont touché. C'est long... Mais cela fait parti du tir P. N.
- Je te parlais du nettoyage à la vapeur, c'est ce que j'ai adopté. Les canons démontés, au lieu de la bassine et de l'eau chaude avec" pompage" j'utilise un simple nettoyant à vapeur. Attention c'est chaud !
Voilà tu sais (à peu près) tout.
Lou gascoun a écrit:Je maintiens aussi que nos anciens avaient moins le principe de précaution que de nos jour.
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