cette suie passait pour un residu de fabrication de la poudrerie , a l epoque je n'en ait jamais trouvé a la vente , j en avait echangé un bon demi litre a un tireur de l est contre un kilog de mercure , avant d avoir cette possibilité de fabriquer mon melange suisse , ben comme tout le monde je tamisais plutot mal que bien mes bidons de francaise.
Dans les calepins des arquebusiers il avait ete mesuré les vitesses d'inflammation des pulverins ,le plus rapide c etait une poudre francaise '(PN7?)mais avec des vitesses allant du simple au double , le melange suisse etait regulier a quelques milliemes de secondes pres, la regularite etant source de precision.