Lone Rider a écrit:Rem, avec tout le respect (et l'amitié...) que j'ai pour toi, tu es de mauvaise foi.
C'est clair que ce n'est pas pour un nettoyage sur le pas de tir (que je ne fais d'ailleurs jamais).
Mais, comme tout le monde, j'ai déjà eu des résidus super difficiles à enlever dans le fond des canons. J'avais même essayé de me fabriquer un "gratte-culasse", sorte de brosse métallique montée en pointe sur une baguette. Cet accessoire a longtemps existé dans le passé mais aucun fabricant ne le propose aujourd'hui, à ma connaissance.
Ces petits nettoyeurs vapeur sont bon marché et d'une capacité et maniablilité parfaites pour nettoyer un canon, une fois la lumière ou la cheminée démontée. Et ça n'a rien à voir avec un Vaporetto ou une centrale vapeur de repassage.
A noter aussi que c'est idéal pour dégivrer un congélateur envahi par les glaces. Et là, c'est Madame qui est contente...
Quand aux tenues de cosmonaute, tu sais ce que j'en pense !
+1 !
Oui, Rem est de mauvaise foi.
Il y a quelque temps déjà que j'avais préconisé sur ce forum le nettoyeur à vapeur; en cela, je n'inventais rien car je l'avais lu quelque part. Mais, cela m'avait valu quelques remarques gentiment ironiques : je crois que rem parlait de locomotive à vapeur !!!
J'ai essayé, pas la loco, mais le vaporetto, et j'ai adopté. Le relativement encombrant vaporetto est cependant extrêmement maniable grâce à son tuyau et ses buses à injecteur : 3 bars à 120° , ça décrasse !
Je l'utilise pour mes revolvers et pour mon rolling block. Toutefois, pour mon Lepage, quatre fois sur cinq, je pratique la méthode recommandée par Rem: pompage de white spirit, très efficace. Au stand, je nettoie rarement et le cas échéant, la brosse en bronze ou, avec mon rolling block, le lacet quand je dépasse les 30 cartouches, ce qui est rare.