Mousquetaire a écrit: Les ecclésiastiques n'avaient rien à craindre de Chita.
Chi tu le dis ...........
Bon alors, tu nous fais les autres ?
Mousquetaire a écrit: Les ecclésiastiques n'avaient rien à craindre de Chita.
Mousquetaire a écrit:...................... mord-moi le noeud!
S&W a écrit:Pour en revenir sur le sujet d'origine ...
Pour savoir quand ton 1842 a reçu sa transformation T (rayage du tube et raccourcissement à 1,42 m) il y a une date marquée sous le bois au niveau de la masselotte. L'initiale devant cette date indique la manufacture ayant effectué la transformation :
S = St Etienne
M = Mutzig
C = Chatellerault
T = Tulle
Par ailleurs, il doit y avoir un n° marqué à gauche du tonnerre et répété sur la crosse, à gauche le long de la plaque de couche : n° de marché attribué en Manufacture à l'occasion d'une réparation ou d'une transformation. Ce n'est pas un n°de série mais une référence permettant de rémunérer les ouvriers concernés. Ce n° est propre à la manufacture, ce qui fait que - théoriquement - 2 armes distinctes peuvent porter un n° identique ... c'est en partie pour corriger ce défaut que l'on a adopté l'immatriculation des armes en 1866 : une ou 2 initiales puis un numéro à 5 chiffres.
Je trouve que ton début de collection est plus que prometteur ! P...n ! Tu as juste ce qu'il manque à la mienne pour faire sérieux ...
Ca n'a sauté aux yeux de personne, mais un 1822 en état d'origine - resté à silex - c'est beaucoup plus rare qu'un An IX !
Le 1816 de grenadier, ca ne se trouve pas non plus sous les pas d'un cheval !
Et tout ça en excellent état !
Il te reste qu'à leur trouver à chacun sa baïonnette ...
MAGNIFIQUE !
S&W a écrit:Pour en revenir sur le sujet d'origine ...
Pour savoir quand ton 1842 a reçu sa transformation T (rayage du tube et raccourcissement à 1,42 m) il y a une date marquée sous le bois au niveau de la masselotte. L'initiale devant cette date indique la manufacture ayant effectué la transformation :
S = St Etienne
M = Mutzig
C = Chatellerault
T = Tulle
Par ailleurs, il doit y avoir un n° marqué à gauche du tonnerre et répété sur la crosse, à gauche le long de la plaque de couche : n° de marché attribué en Manufacture à l'occasion d'une réparation ou d'une transformation. Ce n'est pas un n°de série mais une référence permettant de rémunérer les ouvriers concernés. Ce n° est propre à la manufacture, ce qui fait que - théoriquement - 2 armes distinctes peuvent porter un n° identique ... c'est en partie pour corriger ce défaut que l'on a adopté l'immatriculation des armes en 1866 : une ou 2 initiales puis un numéro à 5 chiffres.
remington59 a écrit:ton dragon est en 18
bien usé quand même le bestiau
le miens était dans les 17.6 et je mettais des boulets de 17.2 calepiné
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