Bonjour les amis,
Une question me trotte dans la tête. J’ai déjà remarqué certaines allusions à ce sujet sur ce forum… ! Nos répliques d’armes sorties de boîtes sont brutes d’usinage, par conséquent un travail de rodage est évidemment nécessaire avant d’obtenir la souplesse et l’ajustement de toutes les pièces. Je crois même comprendre que quelques tireurs dépassent le sens du terme rodage par une modification du barillet.
En effet, certains tireurs rectifient leur barillet en pratiquant un chanfrein à l’entrée des chambres. Il y a certainement du pour et du contre à cette pratique. Cela laisse à penser que cette façon de faire peut présenter plusieurs avantages :
- Positionnement facilité de la balle pour la présenter sous le refouloir ;
- Absence de copeaux au moment du sertissage.
Mais cette pratique a t'elle des revers ???
Ma question est donc la suivante, existe t’il deux écoles ???
1. Le chanfrein ;
2. Le copeau.
Amicalement.




et je faisais des dix(des 9 et des 8 aussi mais je ne mettais pas encore ça sur le dos de l'arme
) et pour l'alesoir conique , faut avoir vu quelques rem origine pour se dire qu'ils avaient de droles de forets a l'epoque, entre la chambre conique et les traces d'usinage , ils s'arretaient a l'utile pour la finition , la mouche a 25 m c'etait pas leur credo. j'en veux pour preuve le rem a Quantrill reputé pour sa precision qui groupait sur une carte a jouer a 25 pas (ou yards , me souviens plus) , le mien avec un peu de finition fait deux fois mieux (sinon trois!)mais ces deux revolvers n'ont pas eu le même destin , militaire d'un coté , sportif(
) de l'autre.
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